« Pour le dossier de Monaco, je les ai senti vraiment très réceptifs et pour cause, puisqu’on avait une bande vidéo qui défilait devant nous et qui mettait à mal tout ce qui avait été dit par le délégué (Jacques Fiore, ndlr).Le dossier de Lens a été divisé en deux parties : une partie sur l’organisation d’un match à Armand Cesari, et la deuxième partie sur le joueur Cichero. Nous on s’est évertué à montrer qu’on savait organiser des matchs à Furiani, et les lensois se sont évertués à défendre leur joueur, si tant est qu’on pouvait défendre un tel joueur...
Les décisions sont en délibérés. On leur a bien dit que le Sporting avait déjà payé cher, très cher ; que le public, les supporters, avaient eux aussi payé. Et qu’il était temps peut-être maintenant de mettre les choses à zéro, de tourner la page et repartir sur des bases plus saines. J’espère qu’on a été entendus par la Commission... »